Film IA : La Cité des Ombres

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Paris, 1940 – Alors que la Seconde Guerre mondiale jette son ombre sur la Ville-Lumière, un récit d’amour et de mystère émerge des ruelles sombres et des secrets profonds qui la caractérisent. 

Le décor est planté : Paris, une cité voilée dans une obscurité presque palpable, où la suspicion flotte dans l’air tel un brouillard empoisonné. Un narrateur anonyme nous transporte dans cette atmosphère lourde de secrets, révélant les mots sages de son père : « Dans cette ville, chacun dissimule un secret. Même ton propre reflet n’est pas digne de confiance. » Une mélodie obsédante de méfiance qui résonne dans les rues qu’il arpente.

C’est alors que surgit une figure énigmatique, une « femme fatale » dont le regard perçant et la silhouette envoûtante ébranlent les fondements de la raison. Ses yeux, tels des saphirs lumineux, cachent des mystères insaisissables et pourtant irrésistibles, malgré l’avertissement de l’instinct du narrateur.

Une ruelle faiblement éclairée par la lueur de la lune devient le théâtre d’une rencontre électrisante. Des gouttes de pluie dansent sur le fedora du narrateur, tandis qu’un courant électrique parcourt son être à l’approche de cette énigme vivante. Le cœur trahit la raison, et dans une ville où la confiance est une denrée rare et précieuse, le narrateur se laisse happer par le charme de cette femme, conscient qu’elle pourrait être aussi mortelle que le poison qui circule dans ses veines.

Un amour s’épanouit au milieu des ombres, dans une ville où la loyauté est un trésor rare. Le narrateur, comme pris au piège, risque tout pour cette femme envoûtante, malgré les avertissements du passé et les signaux d’alarme hurlants. Un jeu mortel se cache derrière les charmes envoûtants de cette séductrice, et tandis que l’amour rend aveugle, il pourrait aussi être l’illusion la plus mortelle que cette cité obscure ait jamais vue.

À travers les méandres de ce récit d’amour fatal, l’histoire capture l’essence même du film noir, évoquant des émotions intenses et mystérieuses tout en plongeant les lecteurs dans l’atmosphère envoûtante de Paris en 1940, où l’amour et le danger se côtoient dans les ombres de la guerre et de la trahison. Une histoire qui nous rappelle que même au milieu de la méfiance et du chaos, l’amour peut briller d’une lueur aussi éclatante qu’éphémère, dans les coins les plus sombres de la Ville-Lumière.

Un film noir format court métrage réalisé en deux heures par Guillaume Louyot de Onickz Artworks.

Ecriture, voix, musique, réalisation, montage, sound design, mixage, titrages .. tout est artisanal.. sauf les images, générées par intelligence artificielle sur commande. Pour l’instant limitées à de petits mouvements erratiques, sans grand details (pas de pluie etc..), le rendu est correct et permet un aperçu de l’avenir du cinéma, mêlant de plus en plus images générées par ordinateur à l’humain, créateur, sensible et irremplaçable à notre sens, comme c’est déjà le cas depuis longtemps (2D/3D CGI, effets visuels, reconstruction 3D de personnages défunts.. )


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